Le paradoxe de la vitesse ? L’immobilité

De l’apparition du premier chemin de fer en 1825, jusqu’au crash du Concorde en 2000, le monde a connu 175 ans de course effrénée à la vitesse. Puis, au 21e siècle, la vitesse a plafonné voire diminué. Et bien qu’elle ne progresse plus, l’accélération continue, car la vitesse ultime désormais, c’est l’immobilité. Nous ne bougeons…